La docilité des peuples dans les sociétés occidentales d'individus

Nous assistons dans les pays occidentaux à une attaque sans précédent des libertés les plus fondamentales depuis le début de la crise de la covid. Pourtant, jamais l'OMS ou une quelconque organisation nationale occidentale n'avait prévu l'utilisation d'un confinement dans le cas d'une pandémie d'ampleur.

Le 13 avril 2020, j’écrivais dans une note de blog qui a été supprimée par Framasoft, en juillet 2021, la chose suivante:

La covid nous a offert une épreuve qui vaut pour test. Cette maladie, pas trop méchante, a révélé les faiblesses de notre civilisation. Il faut par conséquent en changer. Nous avons tous un rôle à jouer. Avec nos petits bras, nous pouvons soulever des montagnes. Pour nous donner du courage à l’épreuve, songeons au pouvoir de nuisance qu’un tout petit moustique peut avoir dans une chambre où quelqu’un essaye de dormir. Mais, il nous faut commencer par entrer en guerre contre notre égo. Comprenons que ce combat est le plus important que l’on doit mener dans notre vie.

J’espérais à la sortie de notre premier confinement que les gens auraient compris qu’avant l’irruption dans nos vies d’un petit virus imprévu nous étions ivres, de cette ivresse que donne la sensation de toute puissance, dans une bagnole qui roulait à fond la caisse vers le mur du grand collapse (changement climatique, extinction de masse des espèces, épuisement de nos ressources, crise économique majeure…). Je pensais que les gens comprendrais que ce qui arrive à l’humanité est une chance inouïe de nous réveiller d’un long sommeil morbide.

Le néolibéralisme ayant méthodiquement cassé toutes les digues nous permettant de faire face efficacement à cette pandémie, nous pensions à l’époque que nous n’avions pas d’autre choix que de nous confiner pour ralentir la propagation de celle-ci (ce qui c’est avéré faux par le suite). Ce confinement nous le vivions comme une forme d’ascèse forcée. Finis le shopping et tous nos petites recherches quotidiennes de plaisirs consuméristes. Finies nos vies de fou ne regardant que notre boulot et nos loisirs sans se préoccuper de comment vont nos semblables et notre planète. Nous avions nous aussi été arrêtés dans notre folie matérialiste et hédoniste avec notre bagnole. Le confinement nous permettait de prendre le temps d’observer et de méditer sur nous-mêmes, sur nos défauts et sur leurs conséquences.

Nous avions une occasion inouïe de voir ce que peut être une crise sanitaire majeure sans que celle-ci ait des conséquences désastreuses pour nous. Nous n’avions aucune idée de ce qu’était un collapse et le hasard des choses nous en a donné un tout petit avant goût.

Dans notre confinement, nous avions tout loisir d’observer, et de voir que nous sommes un colosse aux pieds d’argile. Que si un peu d’eau coule sous nos pieds, nous nous effondrons. Notre orgueil en a pris un grand coup. Nous avons vu que les dégâts que nous avons causés à la nature peuvent être réparés plus vite que ce que nous avions cru quand nous ne la brutalisons pas comme nous avions coutume de le faire avant la crise (les baleines étaient revenu là où nous ne les voyons plus depuis longtemps, les oiseaux envahissaient nos villes, les cerfs se baladaient dans nos rues désertées…). Mère nature est très généreuse.

La fin du premier confinement est arrivée et ce fut la catastrophe. Nos mauvaises habitudes ont repris le dessus. De nombreux consommateurs en manque se sont jetés sur les magasins à nouveaux ouverts et les amateurs de malbouffe se sont jetés sur le retour des McDos. Puis, de nouvelles vagues épidémiques, dues à de nouveaux variants, sont arrivées. Docilement, les gens ont accepté de nouveaux confinements et des couvre-feux à 22h, 20h puis 18h, à cause, paraît-il, d’un effet apéro. Voyant que cela ressemblait de plus en plus à une arnaque, ce qui a été maintes fois montré par la suite, j’ai cru que les gens n’accepteraient pas ces mesures de plus en plus liberticides pour une maladie pas si mortelle que nos médias dominants nous rabâchaient sans cesse.

Puis les premiers “vaccins” sont arrivés. Je ne peux mettre ce terme d’entre guillemets car ce ne sont ni des vaccins ni même des médicaments. Pourquoi? Pour la simple et bonne raison que nous ne connaissons pas la posologie de la substance active, à savoir la protéine de pointe du Sars-Cov-2 (dite Spike) qui n’existe pas seule à l’état naturel. Cette protéine est un poison pour le corps. Si nos cellules en produisent trop et que nos défenses immunitaires mettent trop de temps à la neutraliser, elle peut créer des problèmes de santé parfois très graves qui peuvent aller jusqu’à la mort.

Et puis, il y a eu cette déclaration invraisemblable de Macron le 12 juillet 2021 qui annonçait la création d’un pass sanitaire et de l’obligation vaccinale pour tous les professionnels en contact avec du public. Macron avait pourtant dit qu’il ne rendrait pas cette “vaccination” obligatoire, mais il est revenu sur sa décision. Quant au pass sanitaire, ça aurait dû être la mesure liberticide de trop. Eh bien non, cette déclaration tyrannique de Macron n’a eu pour effet majeur que de précipiter des millions de Français vers l’injection expérimentale. De nombreuses personnes se sont faites injectées pour aller dans les bars, les restaurants ou en vacances. Pourtant, je croyais que ces injections étaient une mesure sanitaire. Je pensais aussi qu’elles ne pouvaient être décidées que sur la base du volontariat. Tous les principes les plus éthiques ont volé en éclats. Songez qu’il a fallu 9 années pour rendre le vaccin contre l’hépatite B obligatoire pour le personnel soignant après avoir reçu son AMM complète (celui pour les “vaccins” contre la covid est toujours conditionnelle). Aujourd’hui, faisant fi du principe de précaution qui vaut pour tout pays dit civilisé, Macron a rendu obligatoire un “vaccin” encore en phase 3 de test. C’est du jamais vu.

Une majorité de Français, dont l’opinion a été forgée par les médias dominants (c’est ce que l’on appelle de la propagande), accepte cet état de fait. Le bon sens semble avoir déserté les esprits. A cause de quoi? De la peur de la maladie? Mais, nous savons maintenant que ces injections ne protègent pas de la contamination (un vacciné et un non-vacciné contaminent autant) et ne sont pas vraiment efficaces contre les variants du coronavirus (la covid est une zoonose dont le virus est champion du monde des recombinaisons).

Le💉ne sert à rien en Australie selon le Dr Jeremy #McAnulty : « 141 sont hospitalisées en Australie. 43 en soins intensifs... TOUS ÉTAIENT VACCINÉS sauf un qui avait reçu une dose seulement. » ! Spectaculaires aveux ! pic.twitter.com/Y0bG4tmAVE

— LeLibrePenseur (@LLP_Le_Vrai) September 24, 2021

Le pass sanitaire est en fait une préparation des esprits à l’identité numérique, un moyen de surveillance généralisée des populations, et au Great Reset. Cela va devenir important quand une nouvelle monnaie va sortir pour tenter de sauver l’économie des monnaies de singe. Cette monnaie sera entièrement numérique. Il n’y aura plus de distributeur (qui sont d’ailleurs en train d’être discrètement supprimés). Une dystopie se prépare et les populations font l’objet d’une expérimentation pour mesurer leur niveau de docilité, et ça marche très bien!

Vous me direz que vous voulez des preuves de ce que j’avance car tout ceci n’est qu’une théorie du complot. Je veux bien vous donner quelques pistes, mais à quoi cela vous servira-t-il si vous êtes déterminé à demeurer la tête dans le sable? Voici pour la surveillance généralisée:

Et pour la monnaie numérique:

Ecoutez donc cette vidéo:

Voici comment j’interprète ce qu’il se passe dans le comportement de nombreuses personnes:

Les sociétés occidentales sont composés d’individus qui ne font pas société. On appelle cela la société des individus.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Soci%C3%A9t%C3%A9_des_individus

Ces sociétés sont dirigées par des médiocres que les individus élisent en ne voulant pas voir qu’ils sont médiocres, car les individus sont généralement médiocres eux-mêmes. Médiocres à cause de la société du divertissement, de la consommation outrancière, de l’hypermatérialisme, de l’amour des loisirs et du fric.

Nous sommes dans une kakistocratie ploutocratique, le gouvernement par les plus mauvais, célébré par les plus crapuleux et dont profitent les plus corrompus. L’Occident vit sa plus grave crise civilisationnelle. Il est en pleine décadence et dans celle-ci surgissent des tyrans que les individus voient comme des sauveurs (est-ce la cause d’une sorte de syndrome de Stockholm?).

Ce qu’il se passe est accepté par les individus vivants en France. Cette acceptation est manifeste par leur silence. Ils auront donc le mal qui prendra de plus en plus de place auprès d’eux. Ces individus s’identifient à des autruches qui regardent TPMP la tête dans le sable.

Dans cette décadence, une nouvelle religion est née. Elle s’appelle scientisme. Elle a son clergé, les médias dominants, et son inquisition, les GAFAM. Le scientisme a ses dogmes. Le scientisme n’est pas la science. La science est le doute, mais celui-ci n’est plus permis car il faut éradiquer une maladie que l’on ne peut pas éradiquer car elle est une zoonose, comme la grippe. On peut juste espérer qu’avec les temps elle devienne un méchant rhume.

Pendant ce temps, le changement climatique avance à grands pas et une méga crise économique se préparent. Le capitalisme, dans sa version néolibérale, cherche les moyens de survivre au travers des crises systémiques qui se rapprochent dangereusement en devenant autoritaire et tyrannique. La liberté des individus est gravement menacée, avec la démocratie (déjà qu’elle était réduite). Les individus vont-ils finir par bouger quand ils vont finir par être atteints dans leur chair? Peut-être, qui sait? Pour le moment, ils travaillent, se divertissent et dorment sur le Titanic.

Les individus n’ont pas gardé la mémoire du passé. Le rapport du Sénat sur la gestion de la grippe A n’est pas si vieux, mais il est déjà parti aux oubliettes. Les magouilles et les crimes de BigPharma qui font partie de leur business plan, ils s’en foutent. Ils font confiance en des criminels pour les soigner après que le clergé médiatique les a rendu mort de trouille. Ce qu’il s’est passé dans les années 30, l’eugénisme, le racisme et la ségrégation, ils s’en foutent aussi. Discuter de la place des musulmans en France, du prénom que l’on porte et d’une religion occidentale que l’on ne pratique plus est plus important. Les paroles des anciens qui ont souffert dans leur chair pour qu’ils puissent vivre bien dans leur pays, ils s’en foutent aussi. Il vaut mieux écouter les stars du foot ou les paroles de rappeurs dégénérés. Voici les paroles d’un ancien, Martin Niemöller:

«Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.»

Mais aujourd’hui même les syndicalistes ne protestent plus, et Amnisty International ne voit que le scandale dans l’inégalité d’accès à l’injection, pas dans ce qu’il y a dans la seringue. Seuls ceux que l’on croyait les plus avancés dans la dégénérescence s’y intéressent un peu: les Japonais.

Au boulot, avec la jeune génération, l’on sent bien que l’on est qu’une ressource humaine, une denrée, comme eux. Ils ne se rendent même pas compte de leur perte d’humanité. Ils font semblants d’être humains, mais ils n’ont pas appris à l’être. Enfants désirés, pourris, gâtés, ultra-protégés et se sentant supérieurs. A l’intérieur de leur être, ils n’y a presque que du vide qui génère de la frustration qu’ils essayent de combler par le mauvais penchant. Ces jeunes individus ne se rendent même pas compte que leur monde se détruit autour d’eux. Ils ne regardent pas ceux qui sont tombés. Ils ne défendent rien, même pas l’avenir de leurs enfants.

Il n’a fallu que quelques dizaines d’années aux néolibéraux pour fabriquer des millions d’individus zombifiés, drogués et anesthésiés pour l’esclavage moderne. Les sortir de leur servitude volontaire ne va pas être simple car ils n’ont pas appris à se battre. Le conflit, ils n’aiment pas, comme ces chercheurs Sanofi qui avaient demandé à leur patron de leur payer des séances de psychothérapie pour pouvoir le rencontrer et tenter de s’opposer à un plan de licenciement destiné aux actionnaires.